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Libri antichi e moderni

Le Maistre (Antoine)

LES PLAIDOYEZ ET HARANGUES DE MONSIEUR LE MAISTRE, CY-DEVANT ADVOCAT AU PARLEMENT, ET CONSEILLER DU ROY EN SES CONSEILS D’ESTAT & PRIVÉ, donnez au public par M. Jean Issali, Advocat au Parlement, 3ème éd.

Pierre Le Petit, 1658

400,00 €

La Memoire du Droit Librairie

(Paris, Francia)

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Dettagli

Anno di pubblicazione
1658
Luogo di stampa
Paris
Autore
Le Maistre (Antoine)
Pagine
(14 f.)-798 p. + table
Editori
Pierre Le Petit
Soggetto
, Plaidoiries - Réquisitoires - Éloquence - Procès, Droit ancien - Histoire du droit,
Lingue
Francese

Descrizione

pl. veau brun moucheté de l’époque, dos à nerfs orné de délicates dentelles dorées, tit. doré sur p. de tit. rouge et noire, bandeaux et lettrines, (frottements, éraflures et petites coupures sur les plats, manque à un coin et une coupe, accident à la coiffe de tête, petit trou au dos et coiffe de pied trop courte, accroc à la coiffe de tête, gardes défraîchies, mouillures claires) Il ne faut pas confondre les deux Le Maistre juristes : Gilles Le Maistre fut président du Parlement de Paris à la fin du XVIème siècle alors que celui-ci, Antoine fut avocat au parlement et conseiller au Conseil d’État du Roi. Ses plaidoyers eurent un grand écho au point qu’on les republia encore au XIXème siècle. Ils constituent un bon tableau de la France de la première moitié du XVIIème siècle : plaidoyer pour une fille déshéritée par son père ; pour un fils mis en religion de force, pour l’éducation d’une petite fille du fait d’une séparation de biens ; contre une violence exercée durant la guerre civile ; pour l’exécution du traité de paix entre la France et l’Angleterre. Certains de ces plaidoyers présentent en outre des aspects théoriques tout à fait intéressants, V. tout spécialement le plaidoyer 12 pour montrer que dans le silence d’une coutume on doit plutôt suivre le droit romain que la coutume de Paris (contre l’opinion professée par Dumoulin), le plaidoyer sur l’application du traité entre la France et l’Angleterre qui pose la question de l’application entre particuliers d’un traité entre deux couronnes.