Questo sito usa cookie di analytics per raccogliere dati in forma aggregata e cookie di terze parti per migliorare l'esperienza utente.
Leggi l'Informativa Cookie Policy completa.

Libri antichi e moderni

Souza Adélaïde De

Eugénie et Mathilde, ou mémoires de la famille du Comte de Revel , par l'auteur d'Adèle de Senange

Chez L. Deconchy., 1811

288,00 €

Feu Follet Librairie

(Paris, Francia)

Parla con il Libraio

Metodi di Pagamento

Dettagli

Anno di pubblicazione
1811
Luogo di stampa
à Londres
Autore
Souza Adélaïde De
Collana
(2) 257pp. et (2) 297pp. et (2) 279pp.
Editori
Chez L. Deconchy.
Formato
in-12 (10,5x18cm)
Soggetto
Livres Anciens (1455-1820)|Littératures
Descrizione
relié
Copia autografata
No
Prima edizione
No

Descrizione

- Chez L. Deconchy., à Londres 1811, in-12 (10,5x18cm), (2) 257pp. et (2) 297pp. et (2) 279pp., 3 volumes reliés. - Cette édition est parue en même temps que l'édition originale de Paris, chez Shoell. Cette édition semble moins courante que la parisienne, et ne se trouve d'ailleurs que dans les catalogues anglais. Reliures en demi veau caramel à coins. Dos lisse à filets dorés. Pièce de titre en veau noir. 2 coiffes supérieurs légèrement élimées. Frottements. Madame de Souza fut une des femmes les plus intelligentes sous le règne de Louis XVI durant lequel elle tint salon, elle fut forcée de quitter la France en 1793, devint bientôt veuve (son mari fut guillotiné), puis se remaria en 1802. Ses romans, empreints de l'esprit et de la manière de la fin du XVIIIe connurent un franc succès. Ils sont malheureusement peu étudiés aujourd'hui et mériteraient une réhabilitation. « Dans Eugénie et Mathilde, où elle a peint l'impression des premiers événemens de la révolution sur une famille noble, il est permis de lui attribuer une part du sentiment de Mathilde, qui se dit ennuyée à l'excès de cette révolution, toutes les fois qu'elle n'en est pas désolée. on trouve dans celui d'Eugénie et Mathilde, qui parut seulement en 1811, des reflets non moins frappans de la nature du nord, des rivages de Hollande, des rades de la Baltique, où se prolongeait tristement l'exil de Mme de Flahaut (le premier mariage de Mme de Souza). Eugénie et Mathilde, que nous avons déjà beaucoup cité, est le plus long et le plus soutenu des ouvrages de l'auteur. L'auteur y a représenté au complet l'intérieur d'une famille noble pendant les années de la révolution. Dans Eugénie et Mathilde, Mme de Souza s'est épanchée personnellement plus peut-être que partout ailleurs. » (Extraits de Sainte-Beuve, Revue des deux mondes, T1, 1834). [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
Logo Maremagnum it