Questo sito usa cookie di analytics per raccogliere dati in forma aggregata e cookie di terze parti per migliorare l'esperienza utente.
Leggi l'Informativa Cookie Policy completa.

Libri antichi e moderni

Baltrusaitis, Jurgis

Essai sur la legende d'un Mythe La Quete d'Isis. Introd. a l'Egyptomanie. Presentation Marie France de Falandre.

Olivier Perrin Ed., 1967.,

98,00 €

Bookshop Buch Fundus

(Berlin, Germania)

Parla con il Libraio

Metodi di Pagamento

Dettagli

Autore
Baltrusaitis, Jurgis
Editori
Olivier Perrin Ed., 1967.
Formato
283 S.; sehr zahlr. Illustrationen; 28 cm. Originalleinen mit Schutzumschlag.
Soggetto
Orient, Orientalistik, Kunst, Kultur, Geschichte, Bildende Kunst, �yptologie
Sovracoperta
No
Lingue
Tedesco
Copia autografata
No
Prima edizione
No

Descrizione

Gutes Exemplar; Umschlag berieben. // Franz�sisch. // Introduction --- En guise de prologue --- Chapitre I : Th�onies �ptiennes de la R�lution --- Chapitre II : L'Egypte de l'op� et des francs-ma�s --- Chapitre III : Les Isis de Gilles Corrozet, premier historien de Paris. --- Chapitre IV : Les Isis et un Apis fran�s --- Chapitre V : L'Isis germanique --- Chapitre VI : L'Osiris germano-italien --- Chapitre VII : L'Egypte aux Indes orientales --- Chapitre VIII : L'Egypte en Chine --- Chapitre IX : L'Egypte aux Indes occidentales et en Angleterre --- Chapitre X : Histoire et po�que, en guise de conclusion --- Notes. // . Karl Giehlow fut le premier ��ler le fonds hi�glyphique dans les all�ries de la Renaissance. Ses recherches, publi� en 1915, demeurent un apport fondamental �'histoire de l'�ptologie d'alors. Le livre de Volkmann, qui lui succ� de pr� reprend l'enqu� en en �rgissant le cadre avec les prolongements embl�tiques. Les deux ouvrages qui datent de plus de quarante ans n'ont rien perdu de leur actualit�Plus 1 on explore la vie des formes et de l'esprit, plus leur cheminement para�complexe, plus l'on y trouve de mouvements lat�ux et de curiosit�obstin�. Le terme d' " �ptomame " fait son apparition et le syst� prend toute sa signification en s'ins�nt dans un tableau d'ensemble. Faisant rena�e le mythe �ptien dans le creuset du n�platonisme, l'ouvrage d'Iversen r�firme avec force ces derni�s conceptions. L'�ptologue danois l'avait con�comme un rassemblement des mat�aux restituant une source qui a aliment�endant des si�es les inqui�des des artistes, des philosophes, des �ivains, des �dits. Madame V.-David s'est attach� de son c� �'un de ces probl�s en relevant tout le poids avec lequel l'hi�glyphe �ptien pesa dans le d�t sur le symbole et l'�iture universelle, prolong�usqu'au d�iffrement des �itures mortes. L'�de est remarquablement men�et constitue un des jalons de 1 histoire des id�. Les travaux r�nts sur des points pr�s confirment la constance de ces apports dans des domaines diff�nts. Ce que nous donnons ici n'est qu'une introduction �ous ces d�loppements. Avec ses dieux et ses monarques civilisateurs, qui domin�nt le monde entier, de F Am�que jusqu'�a Chine, la l�nde du mythe �ptien se profile toujours �'arri�-fond et les �ptologies les plus arides conservent une marque l�ndaire. Nous pr�ntons le conte dans les contradictions fondamentales qui le font vivre, sans �rgner �os lecteurs aucun des raisonnements techniques, aucune des absurdit�singuli�s qui l'ont servi. Le roman de la momie �it alors �it par les savants. La technique de sa composition, sa po�que, op�nt avec le jeu des connaissances exactes et de l'imagination pure. En multipliant les citations nous avons voulu en faire sentir la langue et la teneur �ques. Le conte a surv� �hampollion qui a pourtant marqu�a fin de sa croissance organique. C'est m� �a veille de l'acc�aux textes authentiques qu'il a fleuri avec le plus d'�at dans les th�onies philosophiques de la R�lution fran�se. Nous commen�s par cette ultime synth� pour remonter ensuite �outes ses sources. La l�nde du mythe, qui fait voir les choses o� elles ne se trouvent pas, est pareille �ne " aberration " qui donne naissance �ne l�nde des formes. Elle fait aussi pendant �a d�avation optique nomm�" anamorphose ". Nous les avons trait� chacune s�r�nt. L'ouvrage pr�nt s'ajoute comme un troisi� volet du polyptyque consacr�ux perspectives fauss� r�lant des v�t�m�physiques. . (S. 14)