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Libri antichi e moderni

Gaultier De Biauzat J.F.

DOLEANCES sur les surcharges que les gens du peuple supportent en toute espèce d’impots ; avec les observations historiques & politiques sur l’origine & les accroissemens de la taille , sur l’assujetissement du Tiers-Etat au paiement de la totalité de ce tribut, & sur les mouens légitimes de soulager les Taillables, & de rétablir les Finances, sans recourir à de nouveaux impots.

1788

250,00 €

Lucas Philippe Livres Anciens

(Lyon, Francia)

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Dettagli

Anno di pubblicazione
1788
Autore
Gaultier De Biauzat J.F.
Soggetto
ANCIEN
Descrizione
broché
Sovracoperta
No
Stato di conservazione
Buono

Descrizione

1788 broché s.n., s.l., 1788. In/8 en couverture d’attente, viij ff. d’avertissement, 2 ff. d’erratat, 248 pages. Taches pages 196 et 197 ; auréole de la page 237 à la fin. DeCollection 8 Vo interim binding, 8 f., 2 ff., 248 p. Flaws : lack of paper on spine, spots on pages 196-197 ; dampstaining from p. 237 to the end. L’auteur fut avocat au Parlement, Membre du Conseil nommé par l’Assemblée provinciale d’Auvergne. Fils de notable, il entre en politique en devenant membre du conseil provincial d'Auvergne. Elu député du Tiers état pour représenter la sénéchaussée de Clermont aux États généraux. Il y prêta le serment du jeu de paume le 20 juin 1789. Lors du choix des noms de département en 1790, il plaida pour que le département dont Clermont-Ferrand est le chef lieu ne s'appelle pas Mont-d'Or (il craignait que le nom Mont-d'Or fasse trop riche. ) mais Puy-de-Dôme. Maire de Clermont-Ferrand en 1790, il sera emprisonné pendant la Terreur puis libéré an II lors du coup d'état qui verra la chute de Robespierre. A sa libération, il retrouve son poste de maire qu'il occupera jusqu'en 1795. Il entrera au Conseil des Cinq-Cents instauré par la constitution de l'an III. Après la dissolution du conseil à la suite du Coup d'État du 18 brumaire par Napoléon Bonaparte, il devint commissaire et accusateur public auprès du tribunal de la Seine (1799-1802), mais il dut démissionner pour raisons de santé. Il fut nommé juge, puis conseiller à la Cour impériale de Paris et le resta jusqu'à sa mort.