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Libri antichi e moderni

Vogel (Louis)

CONCENTRATION ÉCONOMIQUE ET SYSTÈMES DE DROIT DE LA CONCURRENCE, Thèse pour le doctorat d’État présentée et soutenue publiquement devant Berthold Goldman (Président), Philippe Fouchard, Hélène Gaudemt-Tallon, Bruno Oppetit, Antoine Lyon-Caen (Suffragants), Faculté de Droit, d’Économie et de Sciences Sociales de Paris (Paris II)

1986

90,00 €

La Memoire du Droit Librairie

(Paris, Francia)

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Dettagli

Anno di pubblicazione
1986
Luogo di stampa
Paris
Autore
Vogel (Louis)
Pagine
XX-622-93-[8 ff.] p.
Soggetto
, Droit commercial - Sociétés - Droit des Affaires, , , Droit des concentrations, Droit de l’Union européenne, Pratiques anticoncurrentielles, Antitrust law, Groupe de sociétés
Lingue
Francese

Descrizione

thèse dactylographiée et thermoreliée, intérieur frais Thèse complète [plus de 100 pages sup. + bibliographie exhaustive] et originale. « Le propos de l’auteur est double. Il a entendu, d’abord, présenter une synthèse de la manière dont la concentration économique est appréhendée par les diverses catégories de règles qui composent un droit de la concurrence. Mais le lecteur est également convié à une réflexion sur la nature de ce droit, sur l’interaction des pénalités économique au service duquel il est placé et des valeurs proprement juridiques dont il demeure porteur. […] La première partie, intitulée “Le besoin de contrôle : le degré de concentration facteur de la qualification juridique”, est consacrée à la mise en évidence de la façon dont la mise en œuvre de la prohibition des ententes, de l’abus de position dominante ou de la monopolisation peut être influencée par la structure du marché en cause et les liens unissant les entreprises concernées. […] Dans la deuxième partie (« L’essor du contrôle : l’opération de concentration, objet de la qualification juridique »), l’auteur, pastichant la formule célèbre de Melchior, cherche à placer la concentration dans “les tiroirs du système juridique”. Concrètement, cela veut dire s’interroger sur le point de savoir si l’opération de concentration est susceptible d’être qualifiée d’entente ou d’abus de position dominante. […] La troisième partie envisage le “destin du contrôle”. L’auteur se demande si l’opération de concentration devient une “catégorie juridique”. On trouvera dans ses développements une synthèse des droits modernes en matière de concentration. » [H. Synvet, RIDC, vol. 42, n° 1/1992, p. 429 et s. concernant la thèse publiée]