Questo sito usa cookie di analytics per raccogliere dati in forma aggregata e cookie di terze parti per migliorare l'esperienza utente.
Leggi l'Informativa Cookie Policy completa.

Avis : Grève des transports 29/11 - Retards possibles sur les collectes et livraisons

Livres anciens et modernes

Carpentier, Jules.

OHMMETRE UNIVERSEL GEOFFROY & DFLORF.

80,00 €

Cellerino Luigi Studio Bibliografico

(Alessandria, Italie)

Demander plus d'informations

Mode de Paiement

Détails

Auteur
Carpentier, Jules.
Thème
Radio, Wireless Telegraphy, Telegraphie Sans Fil.
Langues
Italien

Description

Paris, Rue Delambre, s.d. 4°, 7 facciate di testo battute a macchina al solo recto e una tavola, copertina stampata. Qualche traccia d'uso, una macchia in quarta di copertina. Jules Carpentier, 1851-1821"continue la fabrication de Ruhmkorff et construit les modèles de Nobili, Weber, Kelvin, Pouillet et, surtout, plusieurs centaines d’appareils de Deprez et d’Arsonval. Il brevette plusieurs appareils avec Deprez (savant originaire de la région de Montargis), se consacrant surtout au transport de l’électricité à grande distance. Jules Carpentier met au point toute une série d’instruments dérivés du galvanomètre, pour la mesure et l’enregistrement des intensités, des potentiels des tensions électriques et d’autres grandeurs en dérivant.
On peut rencontrer dans les ateliers : Blondel, Broca, Callendar, Le Chatelier, Pellat, Mascart. Abraham, collaborateur du Général Ferrié, y met au point les voltmètres Abraham-Villard et Abraham-Carpentier, l’ohmmètre Ferrié-Carpentier, le fréquencemètre Ferrié-Carpentier, l’ondemètre Ferrié, l’hystérésygraphe Abraham-Carpentier, le galvanomètre Broca.
Reprenant en 1881 le principe de la boussole de Maxwell, Jules Carpentier l’applique à la mesure des résistances. Vers 1911, son gendre, Louis Joly, en tire le logomètre, appareil utilisé dans des applications du domaine des températures et à celui des instruments de bord de l’aviation.
De 1917 à 1920, les ateliers améliorent considérablement les oscillographes Blondel, fabriqués depuis 1893 (le réographe d’Abraham en est l’ancêtre). Citons encore les appareils magnétiques Mascard, le perméamètre Ricou, l’électrodynamomètre Pellat, le pyromètre Le Chantelier, le premier tube électronique et dès 1912, quelques-uns des premiers postes de TSF et le célèbre cohéreur de Branly.
Jules Carpentier apporte également sa contribution à la définition des étalons nécessaires à toutes les mesures électriques.
Le télégraphe électrique est inventé par Morse en 1843. Le système dû au Français Emile Baudot, ingénieur des P.T.T., remonte à 1879. Il est mis au point dans les Ateliers Ruhmkorff. Des milliers de transmetteurs et récepteurs sortis de la rue Delambre équipent les réseaux français et étrangers. Le principe, qui est resté, est à l’origine des télétypes et des télex, fonctionnant sur ce code à cinq signaux.
Jules et son fils Jean s’intéressent à la musique. Ils réalisent le mélographe, instrument s’adaptant facilement au clavier des pianos et des orgues, transformant le contact des touches en contacts électriques enregistrés à l’encre sur une bande de papier. Un perforateur transforme ensuite les traits en trous. Le mélotrope véritable, petit servo-moteur à frottement, agit sur les touches, restituant le morceau enregistré.
A la demande du directeur de l’Opéra, Jules Carpentier réalise un batteur de mesures.
Dès 1855, Jules Carpentier étudie le procédé de photographie en couleurs, mis au point par Charles Cros en 1869. La classification établie sert à la Manufacture des Gobelins.
En 1890, Jules Carpentier fabrique une chambre photographique à miroir, la « photo jumelle à répétition », à douze plaques, portative, de petites dimensions, permettant d’opérer à hauteur de l’œil. En conséquence, il crée des amplificateurs ou agrandisseurs à mise au point automatique. Il invente un appareil à mesurer les caractéristiques des objectifs : le focograde. Il fabrique des objectifs, façonnant les verres et sertissant les lentilles.
Le 13 février 1895, Lumière dépose le célèbre brevet numéro 245.032 du cinématographe, inspiré du kinétoscope d’Edison. La première démonstration a lieu à la Société d’Encouragement à l’Industrie au 44, rue de Rennes, le 2 mars 1895. Le même mois, Louis Lumière demande à Jules Carpentier de réaliser la construction industrielle des premiers appareils de cinéma. Huit jours après, Jules Carpentier prend lui-même un brevet « d’un mécanisme intermittent de bandes pelliculaires engrenées avec des roues dentées ».
Le 10 mars, Jules Carpentier déposa un brevet d’un « mécanisme avec la croix de Malte à cinq branches ». A la fin du même mois, il inventa le phototrope « appareil pour photographier des scènes animées avec bandes pelliculaires ».
En 1909, Jules Carpentier sort le cinématrolabe, caméra de 35 millimètres.
En 1900, le Service des Constructions Navales fait appel à Jules Carpentier pour doter d’un « tube de vision » le sous-marin Le Morse, en voie d’achèvement à Cherbourg. Il découvre une solution nouvelle permettant à un sous-marin en plongée de ne plus être aveugle grâce au « périscope ».
De 1900 à 1906, quatre-vingts périscopes sont fabriqués. Intensifiée durant la guerre 1914-1918, la production atteint à peu près deux cents tubes. Elle se complète par celle des petits périscopes de tranchées." ( https://collectionhistorique.orange.com/inventeurs/telegraphie/carpentier-jules/).
Logo Maremagnum fr