Questo sito usa cookie di analytics per raccogliere dati in forma aggregata e cookie di terze parti per migliorare l'esperienza utente.
Leggi l'Informativa Cookie Policy completa.

Livres anciens et modernes

Valmy-Baysse, Jean

Lettre autographe signée datée du 6 janvier 1951, évoquant La Maison de Poésie - Fondation Emile Blémont [adressée à l'écrivain et érudit bordelais Armand Got] : " Mais ce qui me paraît plus grave, c'est le fait qu'à cette heure, des huit exécuteurs désignés par Emile Blémont sur son testament, je demeure le seul !. L'unique survivant, quoi !. Et voilà qui doit me donner à réfléchir ! "

1951

75,00 €

Du Cardinal Librairie

(GRADIGNAN, France)

Demander plus d'informations

Mode de Paiement

Détails

Année
1951
Auteur
Valmy-Baysse, Jean
Thème
Editions rares Lettres 05 autographes signed LAS
Langues
Français

Description

1 L. A. S. de Jean Valmy-Baysse : 2 pp. in-8 datée du 6 janvier 1951 : "Mon cher ami, Votre article de "Sud-Ouest" m'est arrivé ce matin, et vous m'en voyez réjoui, au point que je ne sais avec quels mots vous remercier. Car votre affection se montre ici avec une telle gentillesse que je suis vraiment ému, et que cette émotion se double de la pensée que nos deux enfances ont été associées à cette usine de l'Alba ou à son souvenir. . Je suis un peu bousculé en ce moment, la mort de Daniel de Venancourt m'oblige à ajouter aux charges de ma présidence celles du Conservateur de la Maison. Mais ce qui me paraît plus grave, c'est le fait qu'à cette heure, des huit exécuteurs désignés par Emile Blémont sur son testament, je demeure le seul !. L'unique survivant, quoi !. Et voilà qui doit me donner à réfléchir ! Enfin, j'espère que le temps me sera donné de mener vers un nouvel élan cette Maison qui a eu tant à souffrir des événements de ces vingts dernières années. Nous avons pu, financièrement la remettre à plat. Elle va maintenant voguer. Nous l'espérons, du moins." Journaliste et homme de radio, Jean Valmy-Baysse fut nommé Secrétaire Général de la Comédie Française en 1927. Il évoque ici sa présidence de la "Maison de Poésie", fondée par Emile Blémont. Nous joignons l'article original d'Armand Got, paru dans le Sud-Ouest du 3 janvier 1951.