Questo sito usa cookie di analytics per raccogliere dati in forma aggregata e cookie di terze parti per migliorare l'esperienza utente.
Leggi l'Informativa Cookie Policy completa.

Livres anciens et modernes

Georges Teissier

LA RESPONSABILITÉ DE LA PUISSANCE PUBLIQUE Extrait du Répertoire du droit administratif sous la direction de L. Becquet Collection de la Faculté Jean Monnet

Éditions La Mémoire du Droit, 2009

39,00 €

La Memoire du Droit Librairie

(Paris, France)

Demander plus d'informations

Mode de Paiement

Détails

Année
2009
Lieu d'édition
Paris
Auteur
Georges Teissier
Pages
302 p.
Éditeurs
Éditions La Mémoire du Droit
Thème
Édition - Collection de la Faculté Jean Monnet, , ,
Langues
Français

Description

broché, cahiers cousus, label « Imprim’vert® » Parue au Répertoire Béquet en 1906, La responsabilité de la puissance publique est un ouvrage fondateur. Non pas qu’il embrasse la matière ni même qu’il en pose les jalons. L’ouvrage est fondateur parce qu’il est le manifeste d’un bâtisseur, celui-là même qui, au Conseil d’État, combat pour une extension du champ de la responsabilité publique. Comme s’il craignait qu’une mise au point ne figeât la matière, Teissier ne s’emploie pas à rendre compte mais à avancer et pour cela à démonter les arguments de la vieille école. Il prend soin toutefois d’ériger en limites infranchissables des zones d’irresponsabilité, pour se rassurer ou pour rassurer. La Responsabilité de la puissance publique est une œuvre militante, avec sa part d’audace et sa part de compromis. Qu’ils soient visionnaires et que tout y soit dit, qu’ils soient l’œuvre d’une pensée isolée impuissante à convaincre ou que, plus modestement, ils soient représentatifs d’une époque et de la façon de faire du droit, les ouvrages anciens constituent une mine inestimable d’outils de réflexion pour la pensée juridique contemporaine. Convaincu, comme d’autres, des méfaits de leur lente disparition des bibliothèques, l’Institut d’études de droit public de la faculté Jean-Monnet (Paris Sud-11) a voulu apporter sa contribution à leur survie et donner à certains d’entre eux une seconde vie. C’est l’objet de cette collection, qui ne pouvait trouver meilleur accueil qu’à la Mémoire du droit.