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Livres anciens et modernes

Proust Marcel & Ruskin John

La bible d'Amiens

Mercure de France, 1904

9775,00 €

Feu Follet Librairie

(Paris, France)

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Détails

Année
1904
Lieu d'édition
Paris
Auteur
Proust Marcel & Ruskin John
Éditeurs
Mercure de France
Format
12x19cm
Thème
Littérature|Envois autographes, dédicaces manuscrites
Description
relié
Dédicacée
Oui
Premiére Edition
Oui

Description

- Mercure de France, Paris 1904, 12x19cm, relié sous étui. - First edition of the French translation by Marcel Proust, a first impression copy numbered in the press. Contemporary Bradel binding in half cloth, covers preserved, chemise-slipcase in morocco signed by P. Goy & C. Vilaine. Handsome autograph inscription from the author to his young frien, the writer Max Daireaux. [FRENCH VERSION FOLLOWS] Edition originale de la traduction française établie par Marcel Proust, un des exemplaires de première émission numérotés à la presse. Reliure à la bradel en demi percaline indigo, dos lisse orné d'un motif floral doré, double filet en queue, pièce de titre de chagrin rouge, plats de papier marbré, couvertures conservées, reliure de l'époque; chemise-étui en plein maroquin noir, dos lisse, date dorée en queue, intérieur de daim bleu marine, chemise-étui signée de P. Goy & C. Vilaine. Précieux envoi autographe de l'auteur à son jeune ami écrivain Max Daireaux. S'il a bien connu la famille Daireaux à Neuilly ce n'est qu'en 1908 à leur retour de Buenos Aires que Proust se lie d'amitié avec le jeune Max, de treize ans son cadet. Ils entretiendront, pendant plusieurs années, une importante correspondance essentiellement littéraire. On note ainsi que la première lettre de Proust à ce nouvel ami, écrite en septembre 1908 sous forme de poème dédicatoire, est jointe à un exemplaire des Plaisirs et les jours. Plus tard, Proust appuiera la publication des écrits de son protégé dans le Figaro et, en 1913, sollicitera ses lumières scientifiques lors de la correction de son manuscrit de la Recherche. Il lui soulignera à cette occasion qu'il a utilisé dans "Les Jeunes filles" une anecdote survenue chez les Daireaux: " Il n'y a (dans le second volume) qu'un seul mot bête et il a été dit par moi chez vous." (lettre du 19 juin 1913).