Détails
Auteur
Beranger, P. J. De
Éditeurs
Paris, Perrotin Editeur, 1834.
Format
XCV; 320 S.; Illustr. und 413 S.; Illustr.; 22 cm. 2 Orig.-Halblederb�e.
Thème
Franz�sische Literatur, Pierre-Jean de B�nger, Werke - 2 B�e, 1834
Description
Beide B�e st�er berieben bzw. beschabt; R�cken besch�gt; innen durchgehend leicht fleckig. - 2 B�DE. - Franz�sisch. // INHALT : GOURMANDS (LES) --- GRAND'M�E (MA) --- GRANDE ORGIE (LA) --- GUEUX (LES) --- HABIT DE COUR (L) --- HIVER (L) --- HOMME RANG�(L') --- INFID�IT� DE LISETTE (LES: --- JEANNETTE --- JOUR DES MORTS (LE) --- MADAME GR�OIRE --- MAITRE D'�OLE (LE) --- MARGOT --- MARIONNETTES (LES) --- M�E AVEUGLE (LA) --- MORT VIVANT (LE) --- MUSIQUE (LA) --- NOUVEAU D1OGENE (LE) --- OISEAUX (LES) --- ON S'EN FICHE ! --- OPINION DE CES DEMOISELLES (L) --- PARNY --- PARQUES (LES) --- PETITS COUPS (LES) --- PETIT HOMME GRIS ILE) --- CON VE RSAT1ON entre mon Censeur et Moi --- ADIEUX A DES AMIS --- ADIEUX A LA CAMPAGNE --- ADIEUX (LES) A LA GLOIRE --- AGENT (U) PROVOCATEUR --- AME (MON) --- AMITI�(V) - --- AVEUGLE [SJ] DE BAGNOLET --- BON (LE) DIEU --- BON (LE) M�AGE --- BON (LE) VIEILLARD --- BONNE (LA) VIEILLE --- BOUQUETI�E (LA) ET LE CHOQUE-MORT --- BRENN'US --- CANTHAR1DE LA --- CAPUCINS LES // (u.v.a.m.) - Pierre-Jean de B�nger, n�e 19 ao�t 1780 �aris, et mort dans cette m� ville le 16 juillet 1857, est un chansonnier fran�s prolifique qui remporta un �rme succ��on �que. � En 1806, l'ancien Caveau ressuscite sous le nom de Caveau moderne. La Cl�u Caveau est publi�chaque ann� Ce recueil de chansons et d'airs permet ��nger (entr�u Caveau moderne fin 1813), D�ugiers et leurs amis de faire conna�e leurs chansons au peuple, mais des copies circulent d�, et B�nger est connu pour Le S�teur, Le Petit Homme gris, et surtout Le Roi d'Yvetot [archive]. En novembre 1815, B�nger hasarde la publication de quelques airs : Les Chansons morales et autres. Le succ�lui donne de l'assurance et il prend position dans le lib�lisme. Apr�le retour du roi Louis XVIII en 1815, B�nger va exploiter les th�s du respect de la libert�de la haine de l'Ancien R�me, de la supr�tie cl�cale, du souvenir des gloires pass� et de l'espoir d'une revanche. Alors que la presse n'est point libre, il renouvelle la chanson dont il fait une arme politique, un instrument de propagande : il attaque la Restauration et c�bre les gloires de la R�blique et de l'Empire. C'est le temps de La Cocarde blanche et du Marquis de Carabas. B�nger apporte la po�e dont ont besoin ceux qui ont d�rt�a cause royale. Le cercle de ses amiti�s'�rgit et on le voit dans de nombreux salons. Il accepte de collaborer �a Minerve avec �ienne de Jouy, Charles-Guillaume �ienne et Benjamin Constant. En 1820, le Vieux Drapeau est clandestinement r�ndu dans les casernes. B�nger devient vraiment la voix du peuple ou " l'homme-nation " comme le dira Lamartine. Son �uvre de po� pamphl�ire est d� consid�ble : il a attaqu�es magistrats dans Le Juge de Charenton, les d�t�dans Le Ventru, les pr�es et les j�ites partout. Ses chansons paraissent en deux volumes le 25 octobre 1821. En huit jours, les dix mille exemplaires sont vendus et l'imprimeur Firmin Didot pr�re une nouvelle �tion. � En 1821, il est priv�e son modeste emploi. Au d�t de d�mbre de la m� ann� poursuivi et condamn� trois mois de prison et 500 francs d'amende, il est incarc� �a prison Sainte-P�gie, o� il occupe la cellule quitt�quelques jours plus t�ar le pamphl�ire Paul-Louis Courier.