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Libros antiguos y modernos

Aujac, Germaine

Strabon et la Science de son Temps. Les Sciences du Monde / Collection d' �udes Anciennes.

Paris: Soci� d'�tion "Les Belles Lettres"., 1966.,

98,00 €

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(Berlin, Alemania)

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Detalles

Autor
Aujac, Germaine
Editores
Paris: Soci� d'�tion "Les Belles Lettres"., 1966.
Formato
326 Seiten / p. Originalleinen / Reliure.
Sobrecubierta
No
Idiomas
Francés
Copia autógrafa
No
Primera edición
No

Descripción

Aus der Bibliothek von Prof. Wolfgang Haase, langj�igem Herausgeber der ANRW und des International Journal of the Classical Tradition (IJCT) / From the library of Prof. Wolfgang Haase, long-time editor of ANRW and the International Journal of the Classical Tradition (IJCT). - sehr guter Zustand / tr�bon �t - INTRODUCTION -- STRABON, T�OIN DE SON TEMPS. -- � Parmi les ouvrages que le temps a respect� il en est peu qui pr�ntent un int�t aussi vaste, aussi soutenu, que la G�raphie de Strabon. Elle renferme presque toute l�histoire de la science depuis Hom� jusqu�au si�e d�Auguste : elle traite de l�origine des peuples, de leurs migrations, de la fondation des villes, de l��blissement des empires et des r�bliques, des personnages les plus c�bres, et l�on y trouve une immense quantit�e faits qu�on chercherait vainement ailleurs h � Cet int�t si vaste, si soutenu, qui incita Napol� �inancer la somptueuse autant que savante traduction qui sur bien des points fait encore autorit�vient assur�nt du caract� m� de l��uvre tout autant que d�un hasard favorable. -- Strabon en effet, dans sa G�raphie, se montre �ous comme un t�in exemplaire de son temps. N� Amas�dans le Pont vers 64 ou 63 avant J�s-Christ, il re� une �cation lib�le, dans cette Asie Mineure toute p�tr�de culture grecque. A vingt ans, c�nt ��attrait de la capitale, il vint �ome, en passant par Corinthe : c��it l�ann�de la mort de C�r. Durant ce premier s�ur, il eut certainement le loisir de fr�enter savants et philosophes de toutes origines, de toutes sp�alit� r�is dans cette capitale politique du monde habit�Nous savons qu�il suivit les cours de X�rque, natif de S�ucie, un membre �nent de la secte p�pat�cienne qui s�urna tour �our �lexandrie et Ath�s avant de se fixer �ome o� il fut l�ami de C�r (XIV.5.4. C.670.) et o� tr�vraisemblablement Strabon le rencontra. Est-ce �ome aussi qu�il �dia la philosophie d�Aristote avec un certain Boethos, philosophe r�t�originaire de Sidon en Ph�cie (XVI.2.24. C.757.) ? C�est plus que probable.