SIGISMUNDI SCACCIÆ JURISCONS. ROM. TRACTATUS DE COMMERCIIS ET CAMBIO. In quo non minus opprtune, Quam iuxta occasionem copiose tractatur de mora, interesse, usura solemnitate scrituræ, asse in pondere, & valore, de moneta solutionibus, oblatione, deposito, præsciptionibus, compensationibus, jurum cessionibus, delegationibus, adjudicatione nominis debitoris, hypotheca, adjecto, manifestatione, cessione bonorum, legitimatione personarum, curatore dando hæreditati, & de modo procedendi in causis combiorum. OPUS NUNC TERTIO EDITUM, ET A PLURIMIS MENDIS REPURGATUM. Accessit etiam Index copiosissimus, cum Latina translatione eorum, quæ Italiece & Hispanic allegantur. Cum Gratia & Privilegio sacræ Cæsaræ Maiestatis

Sumptibus Joannis Hermanni Widerhold, 1664

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La Memoire du Droit Librairie

(Paris, Francia)

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Detalles

Año de publicación

1664

Lugar de impresión

Genevæ [Genève]

Autor

Scaccia (Sigismundo)

Páginas

[4 ff.]-520 p.-[45 ff.]

Editores

Sumptibus Joannis Hermanni Widerhold

Materia

, Droit commercial - Sociétés - Droit des Affaires, Droit ancien - Histoire du droit,

Idiomas

Francés

Descripción

plein veau brun, tit. doré sur pc. bordeaux, dos à 6 nerfs orné de dentelles et filets dorés, tr. mouchetées, (mors fendus en tête, coiffes affaissées, coins et coupes émoussés, plats frottés avec des épidermures, une acidification du papier et qq. trous de vers marginaux) Jurisconsulte génois, Scaccia écrivit au début de sa carrière de nombreux traités de droit procédural. Mais l’ouvrage avec lequel il acquière la notoriété qu’on lui connaît aujourd’hui encore est sans conteste ce traité de droit commercial et de change. Car ce travail le place parmi les fondateurs du droit commercial au même titre que Stracca, De Luca, Ansaldo ou l’Casaregis. Il s’agit du traité de droit commercial, et plus particulièrement sur la législation financière et du change, le plus intéressant à l’époque présenté sous la forme de Questions / Gloses. Cette édition (qui manque à la BNF) est celle que Dupin (réf. 2215) retient et sur laquelle il écrit : « Scaccia a porté dans la jurisprudence du commerce en général, et du change en particulier, les connaissances de son temps, c’est-à-dire les notions justes… ». Recherché.