In Somnium Scipionis, Libri II eiusdem Convivorum Saturnaliorum Libri VII.

1585 relié [S.e.], Paris, 1585. In/8, reliure postérieure (19è) fauve, plats avec armes encadrées d’un filet doré à motif de cordelette, dos lisse à décor doré, titre séparés par des arabesques. Tranches vertes mouchetées. Vignette d’ex-libris de Morante sur la garde. [16]- 578 p. -[78], petite vermoulure au niveau du mors du plat inférieur ; erreur de pagination sans manque de texte. Exemplaire ayant appartenu au Marquis de Morante (J. Gomez de la Cortina) l’un des plus grands bibliophiles du XIXème siècle, qui réunit plus de 120 000 ouvrages rares et précieux. Il se passionna avant tout pour les ouvrages d’auteurs antiques. Les deux oeuvres principales de Macrobe : les Saturnales, banquet philosophique, et le Commentaire au Songe de Scipion. Dédiée à son fils, cette oeuvre majeure est tirée du livre VI du De Re Publica de Cicéron. C’est par ce commentaire que le texte de Ciceron nous est aujourd’hui parvenu. Brunet, Ouvrages rares et précieux, 509. Annale des Estienne, p.151, pour un titre légèrement différent. Petite vermoulure au niveau du mors du plat inférieur ; erreur de pagination sans manque de texte.  Bon étatDeCollection. 8vo bound in later full fawned calf, boards with coat of arms framed with gilt scroll, smooth spine with gilt arabesque & titles, green speckled edges, ex-name label on paste-down. Rare flaws : spine lightly sunned, small wormhole on joint of rear board. This copy was owned by the Marquis de Morante, one of the greatest bibliophiles who gathered 20000 precious books.Exemplaire ayant appartenu au Marquis de Morante (J. Gomez de la Cortina) l’un des plus grands bibliophiles du XIXème siècle, qui réunit plus de 120 000 ouvrages rares et précieux. Il se passionna avant tout pour les ouvrages d’auteurs antiques. Les deux oeuvres principales de Macrobe : les Saturnales, banquet philosophique, et le Commentaire au Songe de Scipion. Dédiée à son fils, cette oeuvre majeure est tirée du livre VI du De Re Publica de Cicéron. C’est par ce commentaire que le texte de Ciceron nous est aujourd’hui parvenu. Biblio : Brunet, Ouvrages rares et précieux, 509. Annale des Estienne, p.151, pour un titre légèrement différent