Florihaye el haute Ardene tav'les d'Ardene

173 pp., 1er plat conservé, 1 portrait en frontispice et nombreux bois gravés d'Alfred MARTIN. Un des 475 exemplaires sur papier spécial numérotés de 26 à 500 (tirage total). Marcel Launay Ferot-Ferrières 03/09/1890, Cointe-Liège 18/05/1944 Parmi les plus importants représentants de la littérature dialectale du début du XXe siècle, le nom de Henri Simon domine ; puis, très vite, s’imposent ceux de Jules Claskin, Joseph Mignolet et Marcel Launay. « Parnassien, il a l’amour du mot rare ou technique, du rythme appuyé, du moule strict. (…) il étale, du moins dans ses premières œuvres, un luxe descriptif qui rappelle de fort près l’idéal parnassien » (Jean Lechanteur). Par la suite, sa langue deviendra plus simple et plus authentique. Par les thèmes choisis, il introduit dans la poésie wallonne une variation de sujets en rapport avec la nature : les paysages, les travaux agricoles, les métiers, les saisons, la paix et les senteurs. En témoignent Florihâye (Floraison, 1925), Lès tchansons de bièrdjî (Les chansons du berger, 1937), Lès tchansons de mohî (Les chansons de l’éleveur d’abeilles, recueil inachevé 1949). La Wallonie. Le Pays et les hommes (Arts, Lettres, Cultures), Bruxelles, t. III, p. 195, 222 Histoire de la Wallonie, (dir. L. Genicot), Toulouse, Privat, 1973, p. 477 PIRON Maurice, Anthologie de la littérature wallonne, Liège, Mardaga, 1979, p. 437 Paul Delforge, octobre 2011. Connaître la Wallonie - dictionnaire des Wallons.

Edizione: 257/475