Detalles
Autor
Bashkirtseff, Marie
Editores
Paris, Bibliotheque-Charpentier, 1901 / 1912.
Formato
401 Seiten und 591 Seiten; 1 Illustr.; 18 cm; 2 fadengeh., goldgepr. Orig.-Leinenb�e
Materia
Marie Bashkirtseff, Tagebuch, Biographie, Kunstgeschichte, Kulturgeschichte, Frankreich, Paris, 19. Jahrhundert
Descripción
Gute Exemplare; Einb�e stw. gering berieben; Seiten nachgedunkelt. - 2 B�DE. - Franz�sisch. - Marie Bashkirtseff (russisch Maria Konstantinowna Baschkirzewa; * 24. November 1858 oder 1860 in Gawronzy bei Dykanka, Gouvernement Poltawa, Russisches Kaiserreich, heute Oblast Poltawa, Ukraine; � 31. Oktober 1884 in Paris) war eine Malerin aus dem Russischen Kaiserreich, deren Gem�e in Frankreich entstanden sind. Ihr Werk ist dem Naturalismus zuzuordnen. Die postume Edition ihres Tagebuchs 1887 avancierte zu einem Kultbuch ihrer Frauengeneration. � Eine Kehlkopferkrankung vereitelte ihren Plan, S�erin und Schauspielerin zu werden. Auch scheiterten Heiratspl� mit einem r�mischen Adligen am Widerstand von dessen Familie. Marie Bashkirtseff bewog ihre Familie zu einem Umzug nach Paris, wo sie ab Oktober 1877 an der privaten Schule Acad�e Julian bei Tony Robert-Fleury Malerei studierte. Die Acad�e Julian bot damals als einzige Ausbildungsst�e auch Frauen die M�glichkeit zum Studium der Malerei an. Nach zwei Jahren Ausbildung schloss sie sich dem Maler Jules Bastien-Lepage als Sch�lerin und Freundin an und pflegte ihn zusammen mit dessen Mutter kurz vor seinem Tod. Einige ihrer Arbeiten wurden im Palais de l'Industrie in Paris gezeigt. Sie erhielt erste Aufmerksamkeit von Kunstzeitschriften.In ihren Aufzeichnungen hatte sie sich bitter �ber den fr�hen Erfolg ihrer Malerkollegin Louise-Cath�ne Breslau ge�ert. Ihr letzter Tagebucheintrag stammt vom 20. Oktober 1884. Bashkirtseff wurde unter gro�r �ffentlichen Anteilnahme auf dem Friedhof Passy in Paris (Division 1) in einem gro�n neobyzantinischen Mausoleum, dem h�chsten und auff�igsten Bauwerk des Friedhofs, beigesetzt. � (wiki) // . Mardi 16 octobre. - M. Robert-Fleury est venu dans l'apres-midi et m'a accorde" une attention speciale. J'ai, comme d'habitude, passe toute la journee a l'atelier, de neuf heures a midi et demi. Je ne parviens pas encore a arriver a huit heures just.es. A midi, je pars, dejeune et reviens a une heure vingt jusqu'a cinq heures, et le soir de huit a dix. Gela me fait neuf heures par jour Cela ne me fatigue pas du tout; si on pouvait materiellement plus, je ferais plus. II y a des gens qui appellent cela travailler. Je vous assure que, pour moi, c'est un jeu, je le dis sans fanfaronnade. C'est si peu, neuf heures, et dire que je ne pourrai pas lefaire tousles jours, parce que c'est loin des Champs-Elysees a la rue Vivienne, et puis, parce que souvent, personne ne veut m'accompagner le soir, que cela me fait rentrer a dix heures et demie, et jusqu'a ce que je m'endorme il est minuit et le lendemain je perds une heure. D'ail-leurs, en faisant regulierement le cours de huit a midi et d'une heure a cinq, j'aurai huit heures. L'hiver, il fera sombre a quatre heures; ,eb.l bien alors, je viendrai le soir absolument. Nous avons toujours un coupe le matin et le landau pour le reste de la journee. G'est que, voyez-vous, il s'agit de faire, en une annee, le travail de trois. Et comme je vais vite, ces trois annees renfermees en une seule represen-teront six anne'es au minimum d'une intelligence ordinaire. � (Band 1 ; S. 16)