La religion considérée comme l'unique base du bonheur et de la véritable philosophie. Ouvrage fait pour servir à l'éducation des Enfans de . le Duc d'Orléans . par Madame la Marquise de Sillery, ci-devant Madame la Comtesse de Genlis

In-16° (17x9,8 cm), pp. (4), VIII, 353, (1), XCVI, (4), legatura coeva in pelle con titoli su tassello e fregi al dorso. Tagli decorati. Firma d'appartenenza datata 1832 alla seconda guardia anteriore. Nel margine inferiore del foglio con le pagine 123-124, all'altezza dell'angolo interno, e nel margine esterno dei fogli ospitanti le pagine 249-250 e 251-252, mancanza, che non riguarda il testo, ben reintegrata con carta giapponese. Al foglio con le pagine LXXXI-LXXXII, piccolo foro, ben restaurato, con reintegro di due lettere per pagina a matita. Per il resto, ben conservato. Titolo completo: La religion considérée comme l'unique base du bonheur et de la véritable philosophie. Ouvrage fait pour servir à l'éducation des Enfans de S. A. S. Monseigneur le Duc d'Orléans, et dans lequel on expose et l'on réfute les principes des prétendus Philosophes Modernes, par Madame la Marquise de Sillery, ci-devant Madame la Comtesse de Genlis. Table des chapitres: Chapitre I. Plan de l'ouvrage; Chap. II. De l'existence de Dieu et de l'immortalité de l'ame; Chap. III. Des punitions et des récompenses éternelles; Chap. IV. De la conversion des grands scélérats; Chap. V. De la grâce et de l'aveuglement spirituel; Chap. VI. Du péché originel; Chap. VII. Des mystères; Chap. VIII. Réflexions sur la création et sur la Providence; Chap. IX. Suite du précédent; Chap. X. De la nécessité d'un culte, de la Révélation et des prophéties; Chap. XI. Des apôtres et de l'Evangile; Chap. XII. Du style des Saintes Ecritures, considéré comme preuve de la religion. De la morale et des loix de Moyse; Chap. XIII. Préceptes philosophiques, comparés aux préceptes contenus dans les livres de l'Ancien Testament et à la morale evangélique; Chap. XIV. Du fanatisme religieux et du fanatisme philosophique; Chap. XV. De la tolérance; Chap. XVI. Mensonges, contradictions, mauvaise foi, inconséquence, etc. des detracteurs de la religion; Chap. XVII. De l'orgueil philosophique; Chap. XVIII. Réponses à quelques objections des philosophes contre la religion en général; Chap. XIX. Des vertus chrétiennes; Chap. XX. Si l'on a une idée précise de ce que c'est qu'un philosophe; Chap. XXI. Des préjugés philosophiques; Chap. XXII. S'il est vrai que se siècle doive beaucoup de lumières à la philosophie moderne; Chap. XXIII. Du respect que les princes doivent à la religion et de la briéveté de la vie; Chap. XXIV. Récapitolation des devoirs d'un prince.