Questo sito usa cookie di analytics per raccogliere dati in forma aggregata e cookie di terze parti per migliorare l'esperienza utente.
Leggi l'Informativa Cookie Policy completa.

Rare and modern books

Brocher (Charles)

COURS DE DROIT INTERNATIONAL PRIVÉ suivant les principes consacrés par le droit positif français

Ernest Thorin / Libr. H. Georg, 1882-1883

140.00 €

La Memoire du Droit Librairie

(Paris, France)

Ask for more info

Payment methods

Details

Year of publication
1882-1883
Place of printing
Paris / Genève
Author
Brocher (Charles)
Pages
[2 ff.]-460-[1 ff.] / [2 ff.]-436 p.
Publishers
Ernest Thorin / Libr. H. Georg
Keyword
, Droit international privé, ,
Languages
French

Description

demi-chagrin noir, tit. & tom. dorés sur dos à 5 nerfs ornés de filets à froid, rel. au chiffre « HALL », (rel. frottées avec légères épidermures, coins et plats papier frottés avec manques de papier, très rares annotations au crayon), int. frais « L’apport du Genevois Charles Brocher (1811-1884) est […] lié au droit international privé […]. Dans son Nouveau Traité de droit international privé (1876) puis dans son Cours de droit international privé (1882-1883) [le présent ouvrage], Brocher considère le droit international privé comme « la loi des lois », une loi supérieure aux lois nationales dont il craint l’égoïsme. Voulant pourtant respecter le Code Napoléon appliqué à Genève, il combine l’application des statuts personnels et réels avec une conception originale de l’« ordre public international ». Sans se confondre avec l’ordre public interne, cet ordre public international ne serait pas une nouvelle forme de statut, mais une « modalité résultant de circonstances spéciales ». […] Brocher ménage la « force expansive » de l’élément territorial de l’État, de même qu’il restreint l’influence de la volonté individuelle en la subordonnant à la loi. Malgré ces concessions faites à la tradition statutaires, l’œuvre de Brocher a servi à acclimater les théories italiennes dans les pays où s’appliquait la codification napoléonienne. » [J.-L. Halpérin, Entre nationalisme juridique et communauté de droit, P.U.F., 1999]